IV/CONCLUSION

Les séismes sont donc  des événement imprévisibles qui sont responsables de nombreuses victimes.Nous avons pu constater que les nombreux moyens de prévision étaient plus ou moins fiables. Plus les années passent plus les moyens se multiplient et s’affinent. Le moyen le plus sûr reste le sismographe (méthode par dilatance),bien que de nombreuses autres méthodes sont encore expérimentées. Les méthodes Van et le GPS  sont assez controversées et on les utilise moins souvent. Les scientifiques utilisent aussi de plus en plus souvent certains phénomènes naturels (comportement des animaux, la concentration en radons dans les eaux souterraines) dans la prédiction des séismes. De plus, les états ont dû mettre en place de nombreux moyens pour protéger la population lorsque qu’un séisme se produit en se dotant de protocoles de protection, en informant sur les démarches à adopter avant,pendant et après un séisme. Dans les zones dites à risques, les exercices de simulation sont de plus en plus fréquents et on initie les écoliers aux gestes appropriés…  A long terme, les constructions parasismiques seront de plus en plus efficaces mais aussi plus coûteuses. Malheureusement des pays peu développés ne peuvent à ce jour s’en approprier…

Ouverture: Avec toutes ces prévisions peut-on encore considérer un séisme comme une catastrophe naturelle commune ?

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